-
·
COLLAGE
Constantin Cavafis (on écrivait naguère encore : Cavafy), Grec d’Alexandrie mort en 1933 à l’âge de soixante-dix ans, n’a laissé en tout et pour tout que cent cinquante-quatre poèmes « reconnus » et un peu plus d’une centaine retrouvés dans ses papiers après sa mort qu’il considérait comme inachevés, encore que certains d’entre eux semblent trembler de…
-
·
Drames anciens et modernes en Avignon
Avignon, pour la 53e fois. Des centaines de spectacles : si l’on n’oublie pas le Festival Off. Le « In », lui, propose plus de 40 spectacles de théâtre et de musique, et sept spectacles de danse (deux tiers du temps de la Cour d’Honneur). Angelin Prejlocaj y donne Personne n’épouse les méduses et la chorégraphe argentine…
-
·
Un théâtre «désagréable»
Entretien avec Alain Ollivier
-
·
Retour à Azincourt
Entretien avec Jean-Louis Benoît
-
·
COLLAGE
André Dimanche, éditeur marseillais qui publie les livres qu’il aime, a fait retraduire (par Michel Fabre) un roman de 1928 de l’écrivain noir américain Claude McKay, Banjo qui se passait à Marseille. On s’étonne que personne n’y ait songé avant. Ce livre se trouvait parfois chez un bouquiniste, à Marseille, évidemment. On l’avait acheté, il…
-
·
Collage
Le titre, déjà, intrigue. Ce récit s’appelle Cher Monsieur Kawabata (éditions Sindbad-Actes Sud). Il est traduit de l’arabe, et a été écrit par un Libanais, chrétien maronite, Rachid El-Daïf. Kawabata, on le sait, est un écrivain japonais qui obtint le prix Nobel en 1968 et se suicida en 1972. On ne saurait trouver, sans doute,…
-
·
Ikam, du visage comme devenir
Avec l’utilisation des technologies numériques, le portrait change de nature ; il cesse d’être la référence ultime de l’identité. » Dans les salles plongées dans le noir des Ateliers de la MEP, des visages comme des moules pivotent et se modifient au gré du déplacement des visiteurs dans l’espace. Catherine Ikam y présente ses travaux récents,…
-
·
Collage
« Viens voir Marceline comment un homme pleure / Et ce qu’il lui reste quand il a tout perdu. » Les deux premiers vers de ce poème de Jean Ristat la Mort de l’aimé (éditions Stock) ont été écrits d’un jet, sans rature, longtemps roulés sans doute avant d’arriver sur le papier, d’une écriture aux lignes légèrement…
-
·
De l’utopie sous le capitalisme triomphant
Voir aussi
-
·
Collage
C’est un roman et c’est un film, documentaire et de fiction, c’est un poème et un récit de voyage, c’est un livre d’art et un album de photos ; on peut le feuilleter sans tourner les pages, on peut y entrer par la première page, la dernière ou n’importe laquelle au hasard ; on peut,…