-

·
Mort de Belmondo : forces et puissance d’un héros moderne
L’acteur français vient de décéder à l’âge de 88 ans. Hommage au magnifique.
-
·
Éric Ciotti, le tonton facho qui gêne même la famille LR
À force de s’aventurer toujours plus loin dans la jungle de la polémique, le député LR et candidat à la primaire de la droite finit par devenir un boulet pour ses propres camarades du parti.
-

·
2022 : Montebourg candidat pour qui, pour quoi ?
Ce samedi 4 septembre, Arnaud Montebourg doit officialiser sa candidature à l’élection présidentielle. C’est sur ses terres natales, à Clamecy dans la Nièvre, qu’il doit prononcer un long discours qui s’annonce particulièrement virulent à l’endroit d’Emmanuel Macron et qui, dans le même temps, devrait esquisser les grandes orientations de son projet politique.
-
·
Mensonges, drogue et mépris : Macron et Blanquer vous souhaitent une bonne rentrée !
Une reprise en grande forme ! Voilà ce que nous offrent Emmanuel Macron et Jean-Michel Blanquer. Des fake news, du mépris pour tout le monde !
-

·
Pour sortir du populisme
Si le pari populiste paraît d’autant plus séduisant que les événements semblent lui donner raison, il prend le risque de laisser la main à l’extrême droite. Pour y échapper, la gauche doit se refonder dans un projet réellement émancipateur.
-

·
On a lu pour vous « Printemps républicain » d’Amine El Khatmi
Une critique républicaine de Jérôme Martin.
-

·
Élections en Allemagne : et à la fin, c’est le moins mauvais qui gagne
Qui pour succéder à la Chancelière Angela Merkel ? Les Allemands sont appelés aux urnes le 26 septembre pour y donner leur réponse.
-

·
À qui la Terreur fait-elle encore peur ?
Instrumentalisée et agitée comme un épouvantail, assimilée à d’autres périodes ou aux exactions de régimes totalitaires, la Terreur reste un objet de fantasmes, dont l’histoire reste à écrire pour elle-même et pour mieux comprendre la Révolution.
-

·
« La violence est parfois la dernière ressource vitale »
Le droit à user de la violence pour se protéger, la légitime défense ne s’appliquent qu’à ceux qui sont considérés comme des citoyens de plein droit selon Elsa Dorlin, qui montre comment la mise en scène de la violence dissimule celle de l’État.