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Finkielkraut, la mécanique de l’insulte
Le passage d’Alain Finkielkraut place de la République aurait dû rester insignifiant. Mais les réactions outragées qu’il a suscitées en disent long sur un ordre qui tient à sa propre hiérarchie de la violence – et veut discréditer Nuit debout.
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Nuit debout : à la Bourse du travail, un petit pas vers « l’étape d’après »
Au 22e soir de la Nuit debout, François Ruffin et sa bande voulaient penser la suite du mouvement. Mais à la Bourse du travail, la volonté de dépasser l’occupation dans l’action n’a abouti qu’à l’idée d’un 1er mai de convergence avec les syndicats.
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La crise de la démocratie est-elle soluble dans la démocratie liquide ?
Comme d’autres mouvements d’occupation des places avant elle, la Nuit debout exprime un désir de renouveau contre la confiscation de la démocratie. Horizontalité contre verticalité ? Yves Sintomer et Clément Sénéchal en débattaient l’an dernier.
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« Nous sommes en train d’inventer »
Calixte, Quentin et Aline se sont retrouvés place de la République à Paris, le 31 mars, et ils y sont restés pour s’investir dans la Nuit debout. Ils nous disent ce qu’ils font là : « rester debout », pour commencer.
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« Apéro chez Valls » : comme un air de révolte
Samedi en marge de la Nuit debout, une manifestation improvisée a réuni environ 3.000 personnes, décidées à « prendre l’apéro » chez Manuel Valls. Réduite aux incidents qui l’ont émaillée, elle a surtout montré une jeunesse déterminée à changer l’ordre des choses.
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Nuit debout : comment dépasser l’expérience citoyenne dans un projet politique ?
Occupy Wall Street a montré les risques de dispersion qui menacent les mouvements sociaux quand le formalisme démocratique l’emporte sur la formulation d’objectifs politiques. La Nuit debout devra trouver les moyens d’aller au-delà de l’occupation…
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Albert Ogien : « Il faut souhaiter que la Nuit debout transforme le rapport de la gauche et des citoyens »
Au-delà des forces et des limites du mouvement, le sociologue Albert Ogien invite la Nuit debout à poursuivre son objectif de révolution démocratique, mais aussi à se dépasser en affrontant la violence au cœur de la politique.
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Nuit debout : la révolte qui vient sera antiautoritaire
Inattendu, générationnel et vivant, le mouvement que lance Nuit debout est irrécupérable par les managers de l’insoumission et du radicalisme régimenté. Mais il offre à la gauche sociale une chance unique de faire sa propre révolution.
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La Nuit debout veut sonner le réveil
Ce n’est pas encore un « printemps », ni une ZAD, ni la Commune, ni le grand soir… Mais c’est peut-être le début de quelque chose. Hier soir 32 mars, la Nuit debout a connu sa deuxième édition et donné le sentiment qu’enfin, quelque chose se passe…