-

·
Contre la loi travail « et son monde », le mois de juin promet d’être chaud
La « convergence des luttes » est-elle en marche ? Malgré la répression, la contestation s’installe dans la durée et gagne en intensité. Aux côtés de Nuit debout, des étudiants et lycéens, de nouveaux secteurs entrent en action.
-

·
Nuit debout : anticapitalistes et « Bisounours » se disputent la communication
L’appropriation du site Internet et des comptes Twitter et Facebook de la Nuit debout par quelques activistes est contestée par une partie des nuitdeboutistes. Sous le différend, une profonde différence d’appréciation sur la nature du mouvement.
-

·
Les racines militantes de la Nuit debout
Alors que la Nuit debout entame son #73 mars, retour sur les prémices de cette mobilisation et les initiateurs d’un mouvement qui a ensuite volé de ses propres ailes. Mais qui doit aussi trouver un équilibre entre spontanéité et bases militantes.
-

·
1er mai : la déroute des forces de l’ordre
Dans la rue comme sur le plan politique, le gouvernement semble vouloir opposer entre elles les forces engagées contre la loi travail. Dimanche à Paris, cette stratégie de la division s’est au contraire soldée par un échec cuisant. Récit.
-

·
Faut-il chanter « Tout le monde déteste la police » ou « CRS avec nous » ?
Les mobilisations du printemps – contre la loi travail, Nuit debout – se demandent quelle attitude adopter face aux violences policières et aux forces de l’ordre en général : confrontation ou fraternisation ?
-

·
La Nuit debout est-elle la même partout ?
Si la place de la République à Paris capte la lumière, c’est de Nuits debout au pluriel qu’il faut parler. Dans les autres grandes villes, comment le mouvement s’exprime-t-il, entre identité et différences ? Tour de France des places occupées.
-
·
Radio debout marche sur l’onde
Née de la rencontre entre des professionnels et des occupants, Radio debout émet tous les soirs depuis la place de la République. Une antenne militante au cœur de la Nuit debout qu’on vous raconte en vidéo, avec ses acteurs.
-

·
La Nuit debout est-elle passée à l’action ?
Si le mouvement s’est rapidement organisé en commissions, et si ses AG témoignent de l’intensité des débats, la Nuit debout arrive-t-elle à dépasser l’occupation dans l’action ? Faisons le tour de la place de la République pour voir ce qu’il s’y est décidé.
-

·
Jeunesse : une génération apolitique ?
La radicalité et l’esprit de contestation longtemps prêtés aux jeunes n’ont pas disparu : ils prennent des formes qui échappent aux catégories traditionnelles et se dilapident, ou parfois dégénèrent… faute de trouver une expression politique.
-

·
Banlieue debout se lève doucement
Petit à petit, les initiatives Nuit debout fleurissent en banlieue, avec des résultats aussi contrastés que les situations locales. Qui permettent au moins de mesurer le chemin à parcourir pour que le mouvement s’y étende en trouvant sa propre forme.