À Marseille, une douzaine de manifestants a
soutenu les Pussy Riot alors qu’elles se faisaient
condamner à deux ans de travaux forcés pour
avoir poussé la chansonnette contre Poutine dans
une église. Affublés d’une cagoule multicolore,
comme des punkettes russes, les dangereux
contestataires marseillais n’ont pas tardé à être
encerclés par la police. Le juge aura même
l’embarras du choix pour les condamner. Ces
petits nigauds, dans leur élan, ont doublement
contrevenu à la loi : le décret anti-cagoule de
2009 et la loi anti-burqa de 2010. Bienheureux
qu’ils sont de pas finir en camp de travail.




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