Jean-Luc Debry
« Le pavillon est la métonymie
d’une époque. » Ce n’est pas la
maison individuelle d’autrefois
réservée à « l’aristocratie ouvrière
». « Le pavillon s’invente
des colonnades, s’agrémente
d’un “ chien-assis” ou se pare
à l’occasion d’un oeil-de-boeuf.
Son apparence minaude. »
Les zones pavillonnaires envahissent
les aires périurbaines
et rurales, partout identiques,
constellées d’axes routiers et de
ronds-points. Dans le prolongement
d’un précédant ouvrage,
Tous propriétaires, Jean-Luc
Debry porte un œil critique sur
les modes de vie, la relation au
monde et à soi, ainsi que l’idéologie
qu’engendre cette esthétique
née de l’étalement urbain.

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