François Bon
Rabelais choisissait avec soin
son papier, Flaubert taillait ses
plumes, François Bon démonte
son traitement de texte. Après
trente ans d’exploration des
usages numériques, l’écrivain
nous livre une « auto-anthropologie
» d’un cabinet d’écriture
moderne. En nous racontant sa
façon de ranger les livres, ses
cyber-flâneries ou la fréquentation
des auteurs sur une tablette
numérique, il nous promène au
coeur de pratiques que nous
assimilons sans nous en apercevoir,
et qui changent notre
manière de penser. Une mutation
irréversible de la littérature.
Après le livre ? Rien d’inquiétant.

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