Près d’un homo sur quatre a déjà été agressé
physiquement au moins une fois en raison de
son orientation sexuelle, au cours des dix dernières
années. Et près d’un sur deux l’a été verbalement.
Les femmes autant que les hommes.
Mais quand, en plus, on est jeune et pauvre, résidant
dans la région parisienne, c’est encore pire.
Voilà une des conclusions que l’on peut tirer du
sondage Ifop réalisé pour le magazine Têtu.
Alors que la loi pénalise ces faits depuis 2004,
on comprend mal que la direction des statistiques
de la police nationale ne recueille toujours
pas ce type de données.
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