Les dessous sales des multinationales

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« Atteinte à l’environnement », « manquements aux normes fondamentales du travail », « mépris flagrant (…) pour les populations locales »

… Ces pratiques de la Société camerounaise de palmeraie (Socapalm) ont conduit quatre associations à déposer plainte auprès de l’OCDE pour violation des « principes directeurs » de l’organisation. Bolloré et trois autres «entités juridiques» au capital de la Socapalm sont visés.

A Madagascar, Total : le groupe pétrolier coté à l’indice de notation « durable » des multinationales : est propriétaire de 60 % des réserves de pétrole de Bemolonga dont le captage a un coût énergétique très élevé. Mais les groupes investissant dans l’île touchent pendant dix ans 99 % des recettes de la vente de ce pétrole, ça vaut le coup de s’y mettre, pas vrai ?

C’était la séquence « monstrueux passage au capitalisme vert des agents historiques de la Françafrique ». Merci à Thomas Deltombe Le Monde diplomatique ) et Jade Lindgaard Mediapart ) qui ont publié ces histoires en décembre.

Emmanuel Riondé

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