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Couvre-feu : notre horizon s’obscurcit
Emmanuel Macron a annoncé, ce mercredi 14 octobre, un couvre-feu en Île-de-France et dans huit métropoles. Mais l’intervention du Président risque surtout d’accélérer l’incompréhension et l’injustice.
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La Covid, l’anxiété et nous
La seconde vague s’annonce d’autant plus forte que le gouvernement nous a rendus faibles. Politique de dépistage mal organisée et franchement déficiente, refus dogmatique de rendre les masques gratuits, fiasco de l’application StopCovid, culpabilisation des individus… La réponse gouvernementale à la crise sanitaire est défaillante parce qu’incohérente et illisible.
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Pour le monde de la culture, je tire la sonnette d’alarme !
C’est dans un silence assourdissant que le monde de la culture subit un massacre avec la crise sanitaire et les mesures de confinement. Clémentine Autain chronique le Covid-19.
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1er-Mai : déconfinons l’insubordination !
Le confinement a emporté mon, notre traditionnel 1er-Mai. Il nous reste les slogans qui foisonnent sur les réseaux sociaux, les casseroles qui vont tinter dans la journée. Et surtout la colère. Ce 1er-Mai inédit, nous ne l’oublierons pas.
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« Un bicot, ça nage pas »
Ces mots sont ceux d’un policier, un agent de la police républicaine, alors qu’un homme se jette dans la Seine pour échapper à un contrôle. C’est au gouvernement d’agir. L’impunité est un choix politique.
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Depuis quand la responsabilité de scolariser les enfants est-elle laissée au libre arbitre des parents ?
Contre l’avis du Conseil scientifique, le gouvernement prépare une reprise des classe à partir du 11 mai. Face au risque sanitaire, l’école de la République ne sera pas « obligatoire ». Aux parents donc de choisir.
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La faim justifie les moyens
En France, aujourd’hui, de plus en plus de personnes souffrent de la faim. La crise du Covid-19 aggrave dangereusement la situation. Le gouvernement annonce trop peu, dans trop longtemps. Aider les plus pauvres, ils en sont incapables.
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Quand arrive le Covid-19, le roi est déjà bien nu
Après les deux prises de parole du président de la République et du Premier ministre, le brouillard n’est pas dissipé. Clémentine Autain chronique la pandémie.
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« Plus c’est gros, plus ça passe »
Vous vous souvenez du film « Les Quatre Cents Coups » de Truffaut ? Le jeune Antoine raconte que sa mère est morte pour justifier une journée d’absence à l’école. Un énorme mensonge. Et cette réplique culte : « Plus c’est gros, plus ça passe ». Hier à l’Assemblée nationale, face à la macronie, elle…
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Les très dangereuses incohérences d’Emmanuel Macron
Très attendue, l’allocution du président de la République aura donc duré 27 minutes. Le ton n’était pas guerrier cette fois-ci. Tant mieux. Et il a plu des remerciements. À la bonne heure… Mais concrètement ? Les annonces brillent par leurs contradictions.