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Macron : la « révolution » dans la continuité
Candidat soliste à la présidentielle, Emmanuel Macron n’a pas de programme, mais il a écrit un livre : dans Révolution (sic), on saisit plus sa conformité à l’époque que les changements qu’il promet. Mais ne sous-estimons pas le pouvoir de sa rhétorique…
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Marc Endeweld : « Macron est idéologiquement le bébé de Hollande »
Qui est politiquement Emmanuel Macron, phénomène médiatique, candidat à la présidentielle virtuel et sans programme clair ? Les réponses de Marc Endeweld, journaliste et auteur de L’ambigu monsieur Macron.
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Macron, l’aspiration par le vide
En lançant son mouvement, Emmanuel Macron se présente comme l’homme d’un renouveau trans-partisan. Vendu comme une marque, dépourvu de substance, il est surtout le produit du marasme démocratique et de la pensée qui gouverne.
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Macron : le « terreau » du djihadisme et le fumier du libéralisme
S’exprimant sur les attentats de Paris et les racines du terrorisme, le ministre de l’Économie n’a pas pu s’empêcher de réciter son bréviaire libéral, sans en percevoir l’inanité – en pareilles circonstances et pour un tel sujet.
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Vous avez aimé la loi Macron ? Vous allez adorer Macron 2
Emmanuel Macron a présenté la future loi « Noé », visant à adapter l’économie aux bouleversements du numérique. Préparant, au passage, les esprits à une nouvelle libéralisation qui s’annonce encore plus profonde que les précédentes.
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Macron, la collection
Le ministre de l’Économie étant une véritable machine à débiter des provocations plus ou moins volontaires, il devenait urgent de les compiler pour les historiens du futur. Best of, à date.
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Micro Macron
Provocateur patenté du gouvernement dont les médias s’amourachent, agent de la confusion politique ambiante, Emmanuel Macron est à peu près aussi moderne que l’Ancien régime. Le problème, c’est qu’il gouverne.
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Quand Emmanuel Macron déguise la financiarisation en « réindustrialisation »
Le ministre de l’Économie a récemment voulu « retrouver l’esprit industriel du capitalisme ». En réalité, cet homme d’action(s) ne fait que préconiser de livrer un peu plus l’économie – et les salariés – aux marchés financiers.

